<o:smarttagtype namespaceuri="urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" name="metricconverter"></o:smarttagtype><o:smarttagtype namespaceuri="urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" name="PersonName"></o:smarttagtype>

Récit d'exploration<o:p></o:p>

1 - Une source oublier ! par Patrick Serret

2 - 1er jonction avec <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname> par Patrick Serret

3 - Réseaux des 40 bougies "extrait de la vidèo"

4 - Exploration de la galerie du Sanctuaire par Patrick Serret

5 - Au delà des 40 bougies par Sébastien Rocheil

6 - Plongée du S3 (Branche JPG) par Marc Agier<o:p></o:p>

 <o:p></o:p>

7 - Plongée a <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">la Douce</st1:personname> par Bastien Caen (15 ans)

8 - Plongée du S4 (Branche JPG) par Baptiste Bénéditinni

9 - Oh ma Douce ! par Manu Tessanne<o:p></o:p>

<o:p> </o:p>

<u1:smarttagtype namespaceuri="urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" name="PersonName"></u1:smarttagtype><xml> <u2:latentstyles deflockedstate="false" latentstylecount="156"> </u2:latentstyles> </xml>07 - St ALBAN-AURIOLLE<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Font de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on"><st1:personname productid="La Douce" u3:st="on">la Douce</st1:personname></st1:personname><o:p></o:p>

<u1:p></u1:p>1 - Une source oublier ! par Patrick Serret <o:p></o:p>

Fin 2005<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Lors d’un chantier sur St Alban, j’ai remarqué un cours d’eau de surface, bien trop clairs pour être de l’eau de ruissèlement, alors que je terminais ma journée plus tôt que prévu, je décidé de remonter le béal sur environ 120m. Celui-ci me conduit à trois ramifications  se terminant à quelques mètres les unes des autres, sur une largeur de 30m, au pied d’une barre rocheuse. L’eau sortait à travers un éboulis, la branche de droite était la plus active, son débit était de plusieurs litres secondes.<o:p></o:p>

Son débit d’écoulement varie selon les précipitations tombées sur le massif de Bourbouillet. <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

1^er Mai 2006 – (Jean Pierre GIANGIORDANO et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Avec Jean Pierre, nous échangions des informations sur le massif et dans la matinée, nous allons sur le plateau pour vérifier.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

C’est à la suite de cette sortie qu’en début d’après midi nous nous retrouvons avec le matériel de désobstruction devant ce qui allait devenir l’ Font de <st1:personname productid="la Douce." w:st="on"><st1:personname style="font-family: Times New Roman,Times,serif;" productid="la Douce." u3:st="on">la Douce.<u1:p></u1:p></st1:personname></st1:personname><o:p></o:p>

14 heures : nous attaquons une désobstruction soutenue, malgré un gros bloc à   –2 que nous dynamitons. La désobstruction s’enchaîne à une allure infernale. Nous nous relayons au fond à tour de rôle. La désobstruction prend des allures prometteuses, la résurgence livre son secret cailloux par cailloux. Allez ! Encore un gros bloc, « le plus gros de cette journée »,  que nous ne remonterons même pas, le passage est là… confirmé par le bruit d’une pierre qui roule et finit dans l’eau.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

J.Pierre s’engage et 3m plus loin m’invite à le rejoindre. Un siphon ovale de 2m par 1m avec une eau claire nous barre le passage, nous devinons la suite sous la voûte…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous remontons et retrouvons la surface 4h plus tard heureux de notre découverte. Profondeur 7m développement 9.50m.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

15mn après notre sortie l’entrée de la trémie s’effondre… De toute façon en attendant que les niveaux d’eau se stabilisent nous sécurisons le passage de la trémie<o:p></o:p>

<u1:p style="font-family: Times New Roman,Times,serif;"></u1:p>

Une séance photo immortalise cette journée du 1^er Mai 2006.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

6 Mai 2006 (Sortie avec le RESSAC – Jean Pierre GIANGIORDANO,  Jean KANAPA, Jean Claude LEROY, et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous nous retrouvons à <st1:personname productid="La Douce" w:st="on"><st1:personname style="font-family: Times New Roman,Times,serif;" productid="La Douce" u3:st="on">la Douce</st1:personname></st1:personname>, le temps est très incertain, d’ailleurs tout l’après midi nos compagnons à l’extérieur seront exposés au intempéries. Le niveau du siphon a baissé de 1m, la tête dans l’eau avec un masque et une lampe étanche confirme la suite dans un boyau étroite, donc le fond et le prolongement de l’éboulis.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Notre but aujourd’hui est de sécuriser la trémie d’entrée, et d’élargir la galerie du 1^er Mai, après 3 heures de remontage de seaux nous sortons le premier bloc du siphon, ce sera la dernière de cette journée.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

La topographie de la grotte a était faite jusqu’au siphon. Dév : 9.50m – 8m<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Observation :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Le siphon laisse échapper quelques bulles de désiphonnage.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Des grenouilles et des niphargus ont été vus dans le départ du siphon.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

La température de l’eau : 11°<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

13 Mai 2006 (Jean Pierre GIANGIORDANO, Bernard NEGRE et Patrick SERRET)<o:p></o:p>

<u1:p></u1:p>

Elargissement de la salle des niveaux, et exploration de la petite galerie Nord que nous décidons de ne pas reboucher (Dèv. Horizontal : 5m) plus (5m vers la surface).<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Le siphon semble se stabiliser, il ne descend plus que de 5cm par jour, en revanche les premier travaux subaquatiques viennent de commencer, le siphon s’éclaircit en moins de 5mn, malgré cette eau claire je ne retrouve pas mes piles tombés à l’eau, le travail de stabilisation se termine, encore une séance de désobstruction subaquatique et le siphon livrera sont secret.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

15 Mai 2006 (Jean Pierre GIANGIORDANO et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Visite éclair a <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">la Douce</st1:personname> après notre travail, histoire de contrôler le niveau d’eau, mais surtout de dynamiter cet énorme bloc au départ du siphon.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

20 Mai 2006 (Jean Pierre GIANGIORDANO, Jean Claude LEROY et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Après avoir été voir l’affluent du ruisseau des Sources, écoulement pérenne supposé du massif, situé à 1900m de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">la Douce</st1:personname>, nous constatons que son débit est de plus de 1m3 secondes.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous retournons poursuivre notre désobstruction mais cette fois en néoprène.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

J Claude réalisera les premières images d’archives. <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

21 Mai 2006 (Jean Pierre GIANGIORDANO et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Le début de l’après midi commence par la prospection à pieds du ruisseau des Sources.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Celui-ci devient actif en amont du petit pont, proche d’un captage rond.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Au niveau du pont, le débit est de plusieurs centaines de litres par secondes, l’eau sort principalement par deux petites sources.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

En aval du pont jusqu’à l’embouchure du Chassezac l’eau sort par une multitude de points plus ou moins importants, d’on l’un d’entre eux et pointer sur les carte IGN. Leur débit a l’embouchure et de plus de 1m3 par seconds<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Ces sources se situent entre 1000 et 1900 à vol d’oiseaux de <st1:personname productid="la Douce." w:st="on">la Douce.<u1:p></u1:p></st1:personname><o:p></o:p>

L’eau s’écoule par infiltration a travers les sédiments constituants la plaine fertile en rive gauche du Chassezac, sur la commune de St Alban-Auriolles.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

L’après midi se termine à <st1:personname productid="La Douce" w:st="on"><st1:personname productid="La Douce" u3:st="on">la Douce</st1:personname></st1:personname> ou nous acheminons le matériel de plongée, je m’équipe et plonge la tête en avant dans le boyau, derrière le gros bloc (environ 100kg), j’aperçois la suite du boyau qui poursuit sa descente dans la trémie, le fond est rempli de blocs de pierres, mais le boyau s’élargi !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

En bas, 5m plus loin la suite n’est pas visible, l’eau y est très claire.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

J’amarre la corde sur le bloc, ce n’est qu’à la seconde tentative que nous parvenons à le remonter jusqu’au départ du siphon a –1.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous remontons en surface et laissons s’écouler une demi-heure afin de laisser s’éclaircir le siphon pour tenter une plongée, pour reconnaître le fond de ce boyau.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Changement de configuration, je me laisse descendre les pieds en premiers, progression en décapelé sans palmes sans casque, ça passe bien et le conduit s’élargit, rapidement je sens le fond du boyau avec mes pieds, mes lampes sur mes avant bras je regarde autour de moi, a droite je retrouve le boyau parallèle qui nous suit depuis le début, la suite n’est pas là, je regarde sous moi, une faille de quelques centimètres, les 1er pensées négatives commencent à traverser mon esprit, je me tourne vers ma gauche et là plus de paroi, je suis au bord d’une lucarne, qui donne sur une magelle de puits ! ces la galerie !, mes éclairages se perdent dans l’obscurité totale de ce conduit malgré une eau très claire , sur ma droite j’aperçois la fin de l’éboulis qui débouche dans la galerie comme un grand porche rebouché dont nous avons suivi la voûte pour nous conduire dans cette galerie noyée. Je remonte pour partager ma joie avec Jean Pierre qui m’assure avec une corde…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Voilà, maintenant avant de poursuivre nos explos il devient impératif de vider la salle des niveaux de tous ces blocs remontés durant le wenk-end, de trouver une solution pour sortir de l’eau de gros blocs et de nettoyer le boyau noyé jusqu’à la lucarne…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Une ou deux séances de sécurisation de l’ensemble permettrons de mener à bien la suite de nos explorations…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

25 Mai 2006 (Jean Pierre GIANGIORDANO et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Le début de la journée commence par une séance photo à l’Exurgence de Bourgène, et la topographie des 10m de galerie aquatique, malheureusement nous devons bien constater qu’il y a peu de chance de trouver une suite malgré une dizaine de mètres de progression de plus dans le réseau supérieur.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous finissons notre matinée à <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">la Douce</st1:personname> ou avec un palan nous sortons l’énorme bloc au départ du siphon, pour le dynamiter.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Le début de l’après midi se fait avec la rencontre des riverains du quartier pour les informer de nos travaux. <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous poursuivons la sécurisation de la trémie d’entrée jusqu'à la salle des niveaux.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

L’après midi se poursuit avec l’exploration d’un puits a St Alban pour nous rendre compte des niveaux entre <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">la Douce</st1:personname> et le ruisseau des Sources, altitude du puits 103m, niveau de l’eau 3m plus bas, même altitude que la nappe phréatique.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Altitude de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">la Douce</st1:personname> 117m – Altitude du Chassezac au niveau du pont de Grospierres 101m<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Le niveau du siphon était de 7m en dessous de l’entrée le 1^er mai 2006, 25 jours plus tard le niveau avait baissé de 2m.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

<u1:p> </u1:p><o:p></o:p>

26 Mai 2006 (Jean Pierre GIANGIORDANO, Jean Christophe JODRY et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Evacuation des blocs sortis le 20 mai du siphon.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Poursuite et fin de l’élargissement de la trémie jusqu’au boyau siphonnant.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Finitions diverses et sécurisation du conduit désobstruer.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Observation :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous avons remarqué quelques galets de grés-schisteux dans notre désobstruction…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

27 Mai 2006 (Jean Pierre GIANGIORDANO, Bernard NEGRE et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Dés notre arriver Jean Pierre et Bernard entreprenne le nettoyage d’un nouveau chemin nous permettant d’accéder au bord de la vasque avec le Land Rover pendant que je prépare le matériel de plonger.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous poursuivons ensuite la désobstruction subaquatique du boyau, il semblerait que le dernier tir ait ébranlé la trémie et que celle-ci a bougé, le passage en décapeler me semble plus étroit que la dernière fois, malgré notre désobstruction du jour. <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Je décide malgré tout de poursuivre l’objectif de la journée et de planter le spits à la sortie de la lucarne.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

J’en profite pour prendre les relevés topographiques du boyau.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Je remonte après avoir fixé la corde pour le retour dans une visibilité nulle.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous remontons en surface pour préparer la plongée qui va me permettre de déboucher dans la galerie, après une bonne demi-heure, le boyau est encore trouble, je pars en décapelée 2x7l avec mon casque et de l’éclairage, mais sans palmes (boyau trop étroit) et avec une longe poignée qui me relie à la corde. La galerie est encore trouble, je n’ai pas une excellente visibilité (5m) par rapport a l’autre jour, Je me laisse descendre a la sortie de la lucarne sur les gros blocs ou 2m plus bas je touche le sol dur, je distingue alors en face de moi le départ de la galerie complètement obstrué par la trémie, derrière moi, je suis sur une margelle de 2m de large au bord d’un puits vertical. <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

A 90° du puits dans la même direction que la sortie de la lucarne une galerie horizontale de 5m de large se poursuit à l’arrière d’un énorme bloc en travers de celle-ci.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Je suis au bout de ma corde, profondeur par rapport à l’entrée -15 pour 20m de développement.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

31 Mai 2006 (Jean Pierre GIANGIORDANO, Fred ………… et Patrick SERRET)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Grâce à la participation de <st1:personname productid="la Société Euro" w:st="on"><st1:personname productid="la Société Euro" u3:st="on">la Société Euro</st1:personname></st1:personname> Benne et Sampzon Multiservices (mise a disposition d’un tracto-pelle et d’un véhicules pour l’évacuation des remblais), nous avons pus évacuer tous les pierres que nous avons sortis de cette source lors de notre désobstruction de ce mois ci, de plus nous avons ré ouvert la vasque d’entrée sur 2m de diamétre<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Observation :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Il a était retrouver à 2m de profondeur un tesson de poterie !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

1^er Bilan : Mai 2006 : La désobstruction<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

92 heures de travail en 12 séances et 15 explos de relevé de mesures du niveau du siphon.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

6 heures consacré à la recherche et prospection de surface pour repérer les écoulements pérennes.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

8 heures de désobstruction pour atteindre le siphon 7m plus bas le premier jour.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

48 heures consacrées à la sécurisation et l’élargissement de la trémie jusqu’au siphon.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

30 heures de désobstruction subaquatique<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

3 tirs seront arrivés à bout de trois énormes blocs de plus de 100kg.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

1 Séances a la mini pelle plus évacuation de 25m3 de remblais.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Une plongée de reconnaissance en décapeler dans le boyau, pour atteindre la lucarne.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Deux plongées pour équiper le boyau avec une corde fixe et reconnaître la galerie jusqu’à la margelle (arrêt sur rien !)<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

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Du 1^er Mai 2006 au 31 Mai le siphon baissera de 2.30m au total avec une moyenne de <st1:metricconverter productid="8 cm" w:st="on">8 cm</st1:metricconverter> par jour<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Total des précipitation sur la même période : 52mm<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Remerciement<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Pour le travail de désobstruction :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Jean Pierre GIANGIORDANO et Patrick SERRET, pour leur persévérance.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Jean KANAPA, Jean Claude LEROY, Bernard NEGRE, Jean Christophe JODRY, pour leur participation.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Notre Artificier<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Jean Pierre GIANGIORDANO<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Les photos depuis de début de cette aventure<o:p></o:p>

Jean Pierre GIANGIORDANO et Patrick SERRET<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

La vidéo qui nous servira plus tard pour le montage du film<o:p></o:p>

Jean Claude LEROY<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

La topographie<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Patrick SERRET<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Le plongeur spéléo<o:p></o:p>

Patrick SERRET<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Les riverains :<o:p></o:p>

Famille Boule, Famille Boissin, Famille Brossard, Famille Garçonner et Famille Serre<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Mr Boura, pour nous avoir permit l’accès par sa vigne<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

<st1:personname productid="La Commune" w:st="on">La Commune</st1:personname> de St Alban Auriolle et Mr le Maire<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Et nos partenaires <o:p></o:p>

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<st1:personname productid="La Société Bleu" w:st="on">La Société Bleu</st1:personname> Marine Loisir à Nimes, pour son geste commerciale.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

<st1:personname productid="La Sociétè Euro" w:st="on">La Sociétè Euro</st1:personname> Benne de Ruoms, pour le travail de terrassement.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

<st1:personname productid="La Sociètè Sampzon" w:st="on">La Sociètè Sampzon</st1:personname> Multiservices, pour l’évacuation du remblai et la mise a disposition de son  compresseur.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

2 - 1er jonction avec <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname> par Patrick Serret<o:p></o:p>

Développement total : 1200m / -30m
 <o:p></o:p>

Rappel des fait : <o:p></o:p>

Désobstruer en Mai 2006, les plonger réaliser en Juin livre une cheminée inaccessible dans la deuxième cloche, grâce au niveau 10m plus haut le 1er novembre 2006 le réseau sup et découvert, la topographie  révéle l'entrée de la grotte fossile,  suite a une collaboration  RESSAC  /  GSV la jonction et réaliser magnétiquement (1m sépare les deux réseaux)

Le 16 décembre 2006, la jonction et réaliser  après  plus de 11 heures de travail soutenus...
Merci encore a tous ceux qui participe a cette Aventure.

Dimanche  10 Décembre 2006  <o:p></o:p>

Réseau de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname> / St Alban-Auriolle 07 <o:p></o:p>

Antoine Chabanis, Jean Pierre Giangiordano, Jean Claude Leroy, Stéphane Ranchin et Patrick Serret<o:p></o:p>

Résumer :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Depuis la découverte du réseau supérieure, la jonction avec la surface devenait envisageable…<o:p></o:p>

Avec Jean Pierre et la topographie du réseau nous localisons la bifurcation en surface.<o:p></o:p>

Grotte de <st1:personname productid="la Pédale Douce" u3:st="on"><st1:personname productid="la Pédale" u3:st="on"><st1:personname productid="la Pédale Douce" w:st="on">la Pédale</st1:personname> Douce</st1:personname></st1:personname> :<o:p></o:p>

<u1:p></u1:p>Un secteur de 1600m² (40mx40m) et prospecter et nous permet de découvrir <st1:personname productid="la Grotte" u3:st="on"><st1:personname productid="la Grotte" w:st="on">la Grotte</st1:personname></st1:personname> de <st1:personname productid="la Pédale Douce." u3:st="on"><st1:personname productid="la Pédale" u3:st="on"><st1:personname productid="la Pédale Douce." w:st="on">la Pédale</st1:personname> Douce.</st1:personname></st1:personname> La désobstruction de celle-ci nous livre une faille a désobstruer, laissant espérer nos premier espoir de pénétrer se massif.<o:p></o:p>

Grotte de <st1:personname productid="La Douce" u3:st="on"><st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname></st1:personname> :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Mais sur ces entre fait Jean Pierre et Jean Claude ouvre <st1:personname productid="la Grotte" u3:st="on"><st1:personname productid="la Grotte" w:st="on">la Grotte</st1:personname></st1:personname> de <st1:personname productid="La Douce" u3:st="on"><st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname></st1:personname>, cette fois nous sommes juste au dessus du carrefour, de plus nous avons la certitude qu’il s’agit des réseau sup.<o:p></o:p>

<u1:p></u1:p>La jonction !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Après une première tentative à la corne de brume et à la trompette, nous remettons cela avec un peu plus de sérieux…<o:p></o:p>

Ce dimanche, nous nous retrouvons avec la certitude de réaliser la jonction, la topographie du réseau sup et de <st1:personname productid="la Grotte" u3:st="on"><st1:personname productid="la Grotte" w:st="on">la Grotte</st1:personname></st1:personname> de <st1:personname productid="La Douce" u3:st="on"><st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname></st1:personname> nous donne moins de 10m pour 5m de dénivellation.<o:p></o:p>

A 9h00, nous nous retrouvons au bord de la route et chargeons tous le matériel dans le santana et la remorque à Jean Pierre, qui nous achemine jusqu’à la vasque<o:p></o:p>

Nous préparons le kit de transmissions, il est muni de 6kg de leste et d’un bidon de 6l, dans lequel nous avons enfermé un sac étanche, dans lequel nous avons placé une chambre a air qui renferme le talkie-walkie et l’ARVA. Le bidon aura bien résister au 3 bar de pression serte un peu écraser mais le bidon n’a pas prit l’eau.<o:p></o:p>

Un second kit et prévu pour l’escalade repérer lors de la topographie…<o:p></o:p>

Nous partons a trois plongeurs, le rendez vous et fixer à 11h00 avec Jean Pierre<o:p></o:p>

Lors de la traverser du S1, je trouve le kit lourd et me méfit de l’essoufflement qui me guette, mais après un discutions avec Antoine dans le lac il me fait remarquer qu’il s’agissait du courant, effectivement réflexion faite, c’était bien le courant…<o:p></o:p>

Stéphane nous fait part de sa joie et se promet déjà de revenir…<o:p></o:p>

Il ne nous faut pas tardez, nous sortons de l’eau et laissons le matériel de plonger sur la plage de la grande galerie, puis retournons a l’eau pour franchir le lac et rejoindre l’autre galerie en face, un passage bas entre les concrétions et nous voici au pied de l’escalade, nous sortons l’émetteur et démarrons le talkie-walkie, 30 second plus tard nous recevons le premier signal nous montons un peu et établissons la liaisons avec Jean Pierre, tous s’enchaîne 7m nous sépare.<o:p></o:p>

Antoine attaque à l’escalade et parvient rapidement en haut de la petite lucarne, 3m encore…<o:p></o:p>

Mais il s’emble que Jean Pierre entent mieux ma voie, moi qui suis rester en bas pour les photos, a coté de moi une petite galerie s’arrête deux mètre plus loin sur une trémie, nous y posons l’ARVA, et la …. Bingo… <st1:metricconverter productid="1 mètre" u3:st="on"><st1:metricconverter productid="1 mètre" w:st="on">1 mètre</st1:metricconverter></st1:metricconverter>, un mètres nous sépare… la jonction se fait a la voie, mais impossible de désobstruer nous n’avons pas le matériel… La décisions et prise de ressortir…<o:p></o:p>

Pendant se temps Jean Pierre ouvre un nouveau passage dans l’entrée de la cavité, une série d’étroiture s’arrête sur un trou souffleur… trop tard pour établir une nouvelle connection…<o:p></o:p>

De retour en surface nous nous promettons de revenir l’après midi pour réaliser la jonction.<o:p></o:p>

A 14h nous somme de retour, nous partons pour poursuivre la désobstruction du boyau descendant, mais Jean Pierre nous fait par de la découverte de son trou souffleur, vu le travail difficile ici nous décidons d’allez voir ce trou souffleur, Antoine s’engage dans le boyau désobstruer et atteint le trou souffleur, il lui s’emble reconnaître (le petit œil de bœuf aperçu en haut de l’escalade), la décisions et prise d’ouvrir le passage part ici, malheureusement l’après midi n’aura pas suffit pour réaliser la jonction mais nous somme très proche du but, toute fois nous avons prit la décisions d’ouvrir un passage correcte, qui nous prendra le temps qu’il faudra…<o:p></o:p>

Suite de la désobtruction...<o:p></o:p>

Dans la semaine avec Jean Pierre nous avons élargit le départ du boyau<o:p></o:p>

Samedi 16 Décembre 2006<o:p></o:p>

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<st1:personname productid="La Douce" u3:st="on">Réseau de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname></st1:personname> / St Alban-Auriolle 07<o:p></o:p>

Franck Brugal, Antoine Chabanis, Jean Pierre Giangiordano, Christian Haon, Stéphane Ranchin  Jean Claude Leroy, Patrick Serret<o:p></o:p>

Il me tardez cette grande journèe...
Il est 8hoo nous nous retrouvons avec Antoine, pour vérifier que le boyau en cours de désobstruction correspond bien au sommet de l'escalade de la salle de l'Australienne. Antoine part seul en plonger pour un rendez vous au sommet de l'escalade, moi de mon coté je monte a <st1:personname productid="la Grotte" w:st="on">la Grotte</st1:personname> de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname> et me dirige dans le boyau ou Antoine avec reconnu l'oeil de boeuf au sommet de l'escalade.

Quelques minutes plus tard Antoine et là de l'autre cotè cette fois nous nous entendons trés bien, j'ai du mal a l'appercevoire nous n'arriverons pas a nous sérrer la main...
Il reste plus qu'à attendre tous le monde, Antoine ressort je le retrouve a <st1:personname productid="la Résurgence." w:st="on">la Résurgence.</st1:personname> <o:p></o:p>

 <o:p></o:p>

Nous revenons au parking, ou antoine change sa tenue de plongeur pour celle du spéléologue, Jean claude arrive et ces ensemble que nous remontons a la grotte.<o:p></o:p>

Trente minute plus tard l'équipe du GSVans nous rejoint en force et Jean Pierre arrive avec la toile de tente ces super il se mais a pleuvoire...<o:p></o:p>

Nous voilà tous réunit toutes la journèe se sucederons sceau :  corde,  tir,  marteau,  piochon ect...

Un repas partager dans la première salle sera bien apprécier<o:p></o:p>

Mais nous savont que si nous voulont voir le lac il ne faut pas trainer...
Ces seulement en fin de journèe que nous finissont tous au bord du lac la jonction et réaliser...
Voici une belle aventure qui termine cette année 2006

A j'oublié entre deux tir nous profiterons pour élargir le trou qui souffle encore une nouvelle aventure...<o:p></o:p>

Patrick Serret<o:p></o:p>

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JEAN PIERRE BAUDU ; Bon j’explique… Ce zouave m’emmène…, le reste de la galerie… beau volume, vraiment surprennent, enfin vraiment super…Et puit on tourne ont arrivent, ont posent nos blocs, ont arrivent dans cette gadoue, une sorte de flotte rasante sur du sable.

Tes sur que ces la !  (ouaih c’est la…)

D’accord ont passe la ! et puis en fait j’avais pas vu il y a un tous petit passage, mais un petit passage, enfin un petit passage… bon ok ont va voir… si Marc et passé ont devrait pouvoir y arrivé, dont je me suis mis dedans, j’avais les bouteilles et sa ne passé pas c’est claire, bon j’ai mis mes palmes quand même on ne c’est jamais, et en fait je sentais du volume derrière sa c’est sur, dont j’ai commencer a enlever mais blocs et a les assemblais entre eux , j’ai voulu tirer, sa ne passé pas, le back pack ne passé pas, donc j’ai commencer a me désaper, petit a petit, et a chaque fois je ressortais, je me désaper, je ressortais et me dépasser, jusqu’au moment ou le casque accrocher mais je voyait que le volume était grand, je me suis dit que c’était court alors je passe, et j’ai forcer le détendeur tiret bien, et de l’autre coté t’arrive dans une petite cloche, c’est un peu long, ça fait 5m et tu arrive dans une cloche, là il y avait un amarrage alors j’accroche, le problème c’est que j’avais beaucoup touiller et je ne s’avais pas ou était le passage ?

J’ai cherché avec les palmes, puis j’ai sentie un départ, mais c’était pareil, pas très haut et dans le sable, bon j’ai dit à Patrick je vais voir…

Je pose mon fil et je vais voir, puis je commence a y allez, à  y allez, a m’enfoncer, puis petit a petit je m’enfonce, je m’enfonce, je m’enfonce, puis sa avais l’air de passer, puis j’étais bien je passe une chicane sans visibilité, tout sans visibilité et a un moment je me retourne et là « boummm » avec mon phare,  putain se bleu magnifique et ce volume, rien pour attacher mon fil, j’avais les bouteilles a la main, comme je ne suis pas stabilisé par rapports au bouteilles c’était la merde donc je suis revenu et Patrick me dit il faut continuer alors je lui dit passe moi mon matériel, puis il ma lourder le matériel, j’ai tous récupérer, je me suis repoilé dans cette petite cloche et je suis descendu, donc ce n’est pas très haut, c’est une pente ou le sable dégouline avec toi et en fait la ou je m’était arrêt a la chicane, j’avais l’impression d’un gros volume, il y avait bien un gros volume, mais en fait il y avais un miroir d’une beauté, un miroir de surface, l’eau était tellement limpide, que c’était magnifique, donc je sort…

J’avais vu le sol c’était du sable qui arrive et puis après de la glaise avec des sort de cailloux, ça c’est un terrain a ossement  donc j’étais sensibilisé je sort, gros volume, je regarde je me dresse sur les genoux puis je vois que c’était un lac derrière je fait dix quinze mètres a quatre pattes, je tombe dans l’eau, je mets bouteilles toujours le fils d’Ariane et en fait cette une galerie qui et découverte, il y a juste, même pas une voûte mouillante, mais en période d’eau plus haute sa siphonne. J’ai fait dans les 30m a peut près comme ça, et puis là je sort dans la gadoue comme a la sortie du S1, je pose mes blocs car je voyer que sa remonter, je pose mes blocs et puis la je m’enquille et en fait tu et dans la glaise de partout grand talus de glaise très inclinais ou il faut passé par-dessus, en fait il faut passé en vire sur de la glaise prés a te casser la gueule a chaque fois ou il faut enchaîner a chaque fois… paf… tu remonte et tu redescend et puis a un moment je m’arrêt a une escalade. Donc j’attaque l’escalade très glissante aussi mais c’était une escalade dans la roche la ! tu remonte de 3 à 4m comme ça, et puis paf… tu retombe dans une galerie horizontal, tu continu comme ça et puis tu arrive a un carrefour, belle salle, carrefour droite gauche, Pic et pic et collé gramme et hop je vais a gauche.

A Gauche je continu belle galerie, belle dimension, 3 par 4 et là des concrétion immenses allongées au sol, Une colonne de 5m de long allongée, puis des concrétions de partout, je fait encore 5m, concrétionnement de partout, des disques comme a la Cocalière mais d’une beauté extraordinaire, blanc magnifique et la j’arrive sur un mur de concrétion, coulé magnifique et la par le sol je m’allonge, je passe deux ou trois passage bas et d’un seul coup j’arrive dans une galerie, « oh putain » je n’est jamais fais une première aussi belle, Concrétionnements, stalactites, stalagmites, disques, le sol était… en plus tu passe le premier, et là tu a des petits gours d’eau, tu te demande si il y a de l’eau ou pas, et puis tu a des champignion exceptionnelle comme tu voies dans les photos de Spélunca, rond parfais, j’ai fait attention mais j’était fou, je mettais les pieds … ah…ah... j’était comme ça je te jure… non ces pas vrai… j’essais de mettre les pieds ou je pouvais… et j’ai avancé, la galerie fait a peut près 20m comme ça et d’un seul coup t’arrive un puits de 5m ? En fait ces la remonté que j’avais  fait 5 à 6m et a mon avis l’actif continu dessous

Donc la j’ai fait demi tour, toujours ah… ah… je te jure ah… ah… magnifique et de l’autre coté je suis revenue au carrefour.

Au carrefour je vois quelque concrétion, quelques excentriques, je prend donc a gauche, a l’allez j’était a gauche donc je revient je prend a gauche

CATHERINE : Bon a compris, on et un peu… mais a suivit…vous avez suivit ?

BAUDU ; grand talus de glaise, avec quelques fistuleuses et toujours des excentriques, et puis je passe un peu bas, et la évidemment des os au sol, trace d’écoulement léger, glaise assez sèche sur le coté, donc cette partie là ne doit pas trop se noyer, et donc os, j’en et repérer trois magnifique, j’ai continuer passage bas, re-carrefour droite/gauche.

A droite chicane comblement de glaise, en bac au sol reste un petit départ…

A gauche deux ramifications, puis pareils deux petits trous vraisemblablement tête de réseaux comblé, et puis a gauche j’ai laisser, il fallait rampait, vraiment rampait.

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Samedi 23 Juin 2007

Font de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname> / St Alban Auriolles

Plongeurs : Jean Pierre Baudu et Patrick SERRET
Spélèo :  Christian HAON
De passage :  Philippe BIGEARD et Catherine DUFAUT<o:p></o:p>

Après avoir récupérais les ARVA que le club des Vans vient d'acquérir avec les subventions que nous avons obtenues dans le dossier de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname>, nous décidons malgré le niveau d’eau encore très haut de poursuivre le travail de fond...
Nous partons avec Jean Pierre pour franchir le S1 et poser la balise dans la salle Minibus, alors que Christian essayera de nous localiser en surface, nous devons équiper temporairement la sortie du siphon puisque la galerie se retrouve noyer sous 7m d’eau supplémentaire.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous prenons pieds quelques mètre avant le passage d’où arrive l’actif
Après quelques minute nous n'obtenons aucune liaison avec la surface nous décidons donc de placer la balise en haut de la salle soit plus de 10m plus haut que le point actuel.
De sont coté Christian cherche toujours mais lui n'ont plus n'a aucun signal.
Nous laissons la balise et réalisons quelque photo encore inédit de cette partie la plus haut actuel du réseau, Jean Pierre observe un point noir au delà d'un massif de calcite qui obstrue totalement le passage et me demande si on continue « Oui !... », Il avance de deux pas et me confirme qu’il y a bien a passage étroit… il s’engage et  me dit de le rejoindre, « que pourrais tu imaginer me dit il ! », Je m’engage a mon tour et émerge dans la suite de la galerie,  mes yeux s’émerveille devant la beauté de ce spectacle que nous offre la nature, des stalactites, des stalagmites, des colonnes d’une blancheur exceptionnel il y a également des disques, des excentriques, des gours… durant une demi heures se sont de multiples photos que je réalise… on en oublierais presque notre mission… mais toujours aucun signal.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Christian a repérais un jolie petit porche mais il poursuit ces recherche, malgré quelque signaux rien de très précis…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous décidons avec Jean Pierre de redescendre et de laisser l’ARVA  en bas de la trémie, et profitons de faire une balade jusqu’au S2, le réseaux et très gazer, et je m’arrêt au niveau du petit lac, jean Pierre poursuit jusqu’au siphon, puis nous revenons.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Christian a du mal a localiser une zone mais il et parvenu a situer un secteur de 2500m² soit 50m / 50m sur lequel il reçoit un signal lointain puis plus rien.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous venons de replier tous le matériel et reconditionner le tous dans le bidon étanche.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Je part le premier jusqu'au départ du fils dans la galerie base, Jean Pierre rembobine le fils dérouler et me rejoint, au moment ou il passe devant moi, je m’aperçois qu’il a entraîner dans ces palmes le fil d’Ariane, je lui fais comprendre de s’arrêter,  je pose le matériel photo pour l’aider a ce dégager, il faut faire très vite la touille et déjà là… je garde a l’esprit que sur ma gauche quelque part le fil d’Ariane et maintenant un piége dangereux auquel je n’est nullement envie de m’emmêler, sur ceux je ne retrouve plus le matériel photo, tampis, nous progressons de quelques mètre ou Jean Pierre me fait comprendre qu’il a perdu le kit avec le matériel de communication, impossible de retourner dans cette touille pour effectuer des recherche avec ceux fil d’Ariane quelque part en suspension avec des boucles partout, qui serait alors un véritable piége…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Le reste de la plonger de fait sans problème.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

A notre sortie nous appelons Christian sur son portable pour mettre fin aux recherches.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous retrouvons Philippe et Catherine qui vienne partager un repas avec nous tous à la maison.<o:p></o:p>

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Vendredi 20 juillet au soir, JP Baudu me contacte et me propose d’aller plonger à <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">la Douce</st1:personname>, afin d’y faire les relevés de topo, ainsi que la poursuite de l’explo qu’il y a entrepris depuis quelque temps.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous nous retrouvons samedi 21 juillet à 9h30, JP et Patrick Serret font un exposé rapide avec les objectifs de cette sortie.<o:p></o:p>

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Nous débutons la plongée. Je plonge le dernier, je récupère au passage un sherpa de matériel que Patrick ne peut porter faute de stab. Nous arrivons au siphon des « anorexiques »(S2), après une cinquantaine de mètres d’exondée. Là, le but est de déplacer une butte de graviers fin avec un sac et une pelle US, pour que les futures crues nettoient plus facilement la sortie du siphon. Pendant ce temps JP s’engage sous l’eau, désensable l’étroiture et supprime l’un des deux fils. Nous préparons notre matériel pour passer cette sévère étroiture, il faut déstructurer nos bi et j’avoue que je ne fais pas le fier… Patrick s’engage à plusieurs reprises mais sans succès. J’essaie une première fois, je ne trouve pas le passage, un deuxième essai… et me voilà passé, je descends ensuite dans une goulotte, je me retourne et me trouve enfin dans un siphon large et clair d’où je sors au bout de <st1:metricconverter productid="20 mètres" w:st="on">20 mètres</st1:metricconverter>. JP me rejoint, nous décidons de faire l’explo d’abord et la topo au retour.<o:p></o:p>

<u1:p></u1:p>

Après <st1:metricconverter productid="200 mètres" w:st="on">200 mètres</st1:metricconverter> de superbes galeries nous arrivons au sommet d’un puits de <st1:metricconverter productid="5 mètres" w:st="on">5 mètres</st1:metricconverter> que nous devons équiper. Un bout de corde et une échelle plus tard… nous voilà dans du vierge. Après <st1:metricconverter productid="20 mètres" w:st="on">20 mètres</st1:metricconverter> nous arrivons devant une diaclase qui va en se rétrécissant. JP descend avec prudence et j’attends en haut en sécurité. Il fait <st1:metricconverter productid="10 mètres" w:st="on">10 mètres</st1:metricconverter> de plus, s’arrête sur une étroiture verticale et me rejoint.<o:p></o:p>

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Je décide de remonter le puits pour aller chercher le matos topo. Je retourne là où se trouvait JP, avec le double déca pour faire la première mesure. Je regarde cette étroiture et je vois que derrière le conduit s’élargit un peu. Je pose donc le déca et m’engage, avec succès, dans l’étroiture. Je continue ce méandre sur <st1:metricconverter productid="20 mètres" w:st="on">20 mètres</st1:metricconverter> avec de l’eau jusqu’au bassin. Je suis alors devant un petit S3 à l’eau clair… qui attendra une prochaine visite.<o:p></o:p>

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Au retour nous faisons la topo et ressortons de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">la Douce</st1:personname> sans encombre. Une bien belle journée en résumé. Et oui JP, suffit d’arrêter les nougati et les Haribo et tu passeras aussi !!!!<o:p></o:p>

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TPST : 6h<o:p></o:p>

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<st1:metricconverter productid="300 mètres" w:st="on">300 mètres</st1:metricconverter> de relevé topo<o:p></o:p>

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<st1:metricconverter productid="65 mètres" w:st="on">65 mètres</st1:metricconverter> de première<o:p></o:p>

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Sébastien Rocheil<o:p></o:p>

 6 - Plongée du S3 (Branche JPG) par Marc Agier <u3:worddocument> <u3:punctuationkerning> <u3:validateagainstschemas> <u3:compatibility> <u3:breakwrappedtables> <u3:snaptogridincell> <u3:worddocument> <u3:punctuationkerning> <u3:validateagainstschemas> <u3:compatibility> <u3:breakwrappedtables> <u3:snaptogridincell>

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Samedi 11 Aout 2007

Fond de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on">La Douce</st1:personname> / St Alban Auriolles

Plongeurs : Marc AGIER et Patrick SERRET<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Photos de Emmanuelle SOLINSKI <o:p></o:p>

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Un ans ces écouler depuis ma dernière pointe en ces lieux, je remercie au passage Antoine qui en m'attendant tailler des marches dans les talus d'argiles, celle-ci on presque d'ailleur disparus et rende la progression acrobatique merci les veilles cordes réformer...
Après avoir l'éssais l'équipe de surface photographique, nous nous immergeons pour franchir le S1 (RAS), quand a la progression jusqu'au S2, nous avons beaucoup de mal du au CO² qui sacumule a chaque passage dans le réseaux (je rappel que ce réseau et hermétique / réseau sous pression lors des mises en charges)
Enfin nous arrivons au lac avant le S2, mon masque m'échape et disparais dans l'eau boueuse, malgré une multitude d'effort nous ne retrouverons pas le masque, j'ai bien un masque de secours mais je les laisser a la sortie du S1... mais marc a le siens, alors nous poursuivons jusqu'au terminus le S3... et la rebelote... j'ai perdu le masque de Marc... ces incoyable, en 25 ans je n'est j'amais eu se problème et là sur deux masques coup sur coup (on veillie...)
je dit a Marc de poursuivre seul l'aventure pendant que je chercherais son masque... que je retouverais 20' plus tard... ouf...
Marc revient et me raconte sa première, tous en revenant nous relevons la topographie de l'exonder en le S1 et le S3, il reste donc que la partie explorer par Marc qui n'est pas topographier, je lui laisse la raconter sont exploration...
le retour se fera avec de nombreux arret enfin de respirais sur nos tedenteur...<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Temps passer sous terre : 6 heures
Matériel : 2x4l + 1 relais 7l<o:p></o:p>

 7 - Plongée à la source de <st1:personname productid="La Douce" w:st="on"><st1:personname productid="la Douce" u3:st="on">la Douce</st1:personname></st1:personname> par Bastien 15 ans.

<u1:p></u1:p><u1:p><o:p></o:p></u1:p>

J’ai plongé dans cette source le 4 mai à 9h45 accompagné de Philippe Brunet et de Patrick qui l’a découverte.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

J’ai suivi Philippe dans un boyau où les blocs frottaient  contre la paroi et où ne n’avions pas la place de nous retourner.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Au bout de ce boyau nous sommes arrivés dans une galerie plus vaste.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous avons évolués dans cette galerie et sommes passés au dessus de gours et micro-gours, puis nous sommes remontés dans une cloche et y avons trouvé des concrétions à fleur d’eau.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Nous sommes restés quelques minutes à  les  observer et à parler du prolongement de cette galerie, puis avons fait demi-tour.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Sur le chemin du retour nous sommes montés dans un lac avant de redescendre pour ressortir par le boyau par lequel nous étions entrés.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Je suis ressorti sans aucun souci et très heureux d’en avoir pris plein les yeux.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Cette plongée m’a donné l’envie d’y retourner rapidement, c’était magnifique.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

<u1:p> </u1:p><o:p></o:p>

Bastien Caen<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

15 ans et demi<o:p></o:p>

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8 - Plongée du S4 (Branche JPG) par Baptiste Bénéditinni<o:p></o:p>

Un petit CR de la sortie de samedi :
Le rdv : 8h30 chez Patrick
j arrive a l'heure on prepare les differents kits :
1 kit petit matos (bouffe + materiel de topo)
1 Kit de bouteille (4l + 7l)
1 Relais (9l pour moi, 7l pour Patrick)

On charge le discovery, il reste un peu de matos des jours précédent: un cric hydraulique et autre matériel de chantier ...

On arrive a l'entrée de la grotte, on regarde les niveaux. C'est tip top, on commence donc à descendre le matériel.

10h on s'immerge pour  passer du S1: RAS

On laisse le relais a la sorti du S1 j enlève le haut de la combinaison et je me prépare pour la partie exondé.
Le C02 nous impose de ne pas courir dans les galerie mais on arrive au bout de 45-60 min au lac devant le S2, la on fait une petite pause déjeuner, et on prépare les affaires de plongée. Je casse une sangle de palme que je répare avec un caouech.

On passe le S2 S3 sans difficulté on arrive enfin au S4.
la vasque est magnifique on se met a l'eau, on vérifie nos mano et c est partis.
Ont arrivent a -15m arrêt du fil. On raboute et on continuent. l eau est limpide mais pas pour longtemps le sol est couvert de boue... je commence a perdre une palme heureusement il reste encore assez de visi je la récupère et je repars dans une diaclase sur fond de sable.
Apres une trentaine de mettre je tombe sur une etroiture en triangle j essaie de la passer pendant plusieurs minute mais rien a faire je décide donc de faire demi tour. Par contre rien pour attacher le fil et  entre temps la visi en devenus nulle je décide donc de rembobiner le fil que je viens de poser.
Impossible de faire demi tour, je repars en marche arrière et la je perds une première palme puis 5 min après la deuxième je ressors donc sans palmes du S4 avec une visi nulle. Ce qui rends impossible de retrouver mes palmes.
on discute 5 min avec Patrick et on rentrent tranquillement jusqu'à la voiture sans problème particulier

Bilan :
Arret sur etroiture fanchissable en destructuré a -25m
avec vu sur -27. la galerie descend en pente douce sur du sable.

Moralité de l histoire :

la réparation de la palme avec un caouech ne m a pas permis de serrer suffisamment la sangle. En plus comme je plongeais avec des bottes les sangles ont tendance a partir ....
De plus avec une visi nulle impossible de recuperer les palmes <u1:p></u1:p><o:p></o:p>

9 - Oh ma Douce ! par Manu Tessanne<o:p></o:p>

Il est des gens motivés dont le chemin surprend ! des gens capable de passer des jours entiers a creuser la tete en bas en mono bouteille pour accéder a un hypothétique graal…patrick est de ceux la et je ne sais pas si son surnom vient de la mais oui c’est bien un BELU, un fou mener par une passion sans limite pour les massifs qui dissimilent des merveilles.<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

<st1:personname productid="La DOUCE EST" u3:st="on"><st1:personname productid="La DOUCE EST" w:st="on">La DOUCE EST</st1:personname></st1:personname> UNE MERVEILLE !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Voila petit prélude pour résumer une journée en Ardèche et vous motiver à aller visiter un jour ce réseau qui vaut plus que le détour !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Bon en parlant de fous, on est tous un peu timbrés quand même !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Pour ma part j’ai quand même fait vendredi dernier 7h de route dans la journée pour faire 4h d’explo a la douce, pour plonger et voir le terminus de baptiste et belu dans le s4 ! et tout ça pour 2m de première !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Mais quelle première !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Première info si baptiste vous dis que ça passe en déstructurer, suivez ces conseils, mais ne pensez pas aller bien plus loin que lui, c’est qu’il est motivé le garçon…j’ai fais les 2m qu’il voyait devant lui, mais pas de suite humaine en vue !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

La suite est dans la continuité de la diaclase mais celle-ci fais environ <st1:metricconverter productid="20 cm" u3:st="on"><st1:metricconverter productid="20 cm" w:st="on">20 cm</st1:metricconverter></st1:metricconverter> de large et même mon casque ne passait pas, soyons raisonnable :<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Douce oh ma douce, lorsque tu resserre, a ce point la tes belles diaclases, douce oh ma douce moi je m’imagine que c’est la fin de notre voyage….<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

C’est donc finit dans cette branche de ce réseau, et comme dans l’autre c’est pas mieux…<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Au retour nous avons fais de la visite de belles galeries, cherchant d’hypothétiques escalades et suite…rien, mais un super moment a s’émerveiller de ce joli bébé que l’on doit a Mr Serret !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Alors merci a lui !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Apres notre grande explo, dont les essoufflements liés au CO2, m’ont impressionnés, nous sommes allés profiter du retour du soleil ( il faut dire que nous sommes rentré sous terre sous la pluie…) pour faire la visite a l’évent des cascades…Patrick travail pour le futur !!!<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Puis nous sommes passés a Bourbouillet, lieu de ma première plongée sout dont je ne me souvenais presque plus !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Enfin il m’a emmené voir THE site of plongée à reprendre en Ardèche ! FONT VIVE !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Et ça c’est dément, je pense y retourner dès que possible !<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Apres tout ça je me suis dit que la route m’attendais mais c’étais sans compter sur l’hospitalité de Christiane et Patrick alors avant de m’en retourner, j’ai eu le droit a un super repas sur leur terrasse ; on a causé spéléo en Ardèche, vraiment un bon moment !!!!<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Merci a eux deux, et pour conclure, il n’y a qu’une chose a dire, si Patrick vous propose une balade spéléo en Ardèche : FONCEZ !!!!<u1:p></u1:p><o:p></o:p>

Ps : n’hésitez pas a lui dire de ralentir avec le 4*4 dans les chemins ou sinon protégez vos détendeurs !!!!<u1:p></u1:p>