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    2OO mètres de galeries explorés à Font Vive


    Samedi matin, quatre spéléologues plongeurs ont sauté dans les eaux limpides et fraiche (18°)de la Font Vive à Grospierres pour faire suite à l'exploration du Savoyard Manu Tessanne il y à 15 jours et aller au -delà de la reconnaissance réalisée par François Tourtelier en 2002 qui s'était arrêté devant une escalade.
    Ils étaient accompagné de Xavier Méniscus, Stéphane Lips, et Patrick Serret pour l'assistance , aussi bien en surface que sur une partie du parcours des découvreurs.
    L'objectif que les quatre amis s'étaient fixés à été réussi après dix sept heures d'exploration et la topographie entièrement levée. Deux cents mètres de nouvelles galeries ont été explorés, ensuite le réseau se ramifie. Arrêt sur le siphon N°4 et diverses ramification étroites, boueuses et sur deux galerie non explorées. De nombreuses escalades ont été tentées, toutes se terminent sur des colmatages argileux. Le développement total de la source est de près de 2km, avec encore de nombreux point d'interogation à revoir. La cavité a été entièrement rééquipée jusqu'au fond, soit plus de 150m de corde. En conclusion Font Vive n'a toujours pas livré le secret de la provenance de ces eaux.

    Extrait du Dauphine du 14/09/2008


    Nouvelle exploration de la mythique Font Vive

    La résurgence de Font Vive à Grospierres site de prédilection de tout plongeurs spèlèo confirmés faisait l'objet hier samedi d'une nouvelle opération de reconnaissance, menée par quatre intrépides spèlèos. Il s'agissait de Manu Tessanne du groupe club alpin français, Xavier Méniscus, Valentinois du club spèlèo de Pont en Royans, Stéphane Lips du groupe Vulcain, tous trois plongeurs de pointe et pour l'assistance en surface de Patrick Serret de Sampzon.
    Dès vendredi soir ils étaient sur le site pour préparer cette expédition et plonger à 12m pour acheminer le matériel nécessaire à leur exploration soit 240kg et 150m de corde. La plongée à eu lieu ce samedi matin à 9h30.
    En 1991, Fred Badier et Patrick Serret reprennaient l'exploration de cette source mythique, le célébre Jean Marie Chauvet s'étant arrété alors sur un deuxième siphon non plongé.
    Le développement de la cavité était de 500m. En 2002, Xavier Méniscus et Gaby Hude du groupe RABA poursuivaient l'exploration.
    Au mois d'aout de cette année Patrick Serret à fais découvrir ce site a Manu Tessanne. 15 jours plus tard en solitaire il se rendait au terminus connu de la cavité qui s'arrête sur une escalade. Seule il a entreprit et découvert la suite de la cavité.
    Ce Samedi 13 septembre, l'objectif était de poursuivre cette aventure...

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  • Synthèse Topographique




    Coupe Chauvet

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    Coupe Badier
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    Croquis cloche B. Destreil

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    Coupe Tourtelier

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    Plan Tourtelier
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    Coupe Bigeard

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    Plan Bigeard

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    Plan Vasque Bigeard

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    Coupe & plan S. Lips
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    a FONT et VIVE la SPELEO a plusieurs acte 2
    <o:p></o:p> </w:snaptogridincell></w:breakwrappedtables></w:compatibility></w:validateagainstschemas></w:punctuationkerning></w:worddocument></xml>
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    Par manu tessanne sur Lun 15 Sep 2008, 21:38 <o:p></o:p>

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    suite de l'aventure a FONT VIVE et ça continue!


    Avec l'équipe RABA et après ma première balade a FONT VIVE en Ardèche nous sommes retournés voir ce sur quoi je m'étais arrêter, a savoir rien ! et poursuivre l'explo en levant la topo.

    participants: Stephane Lips (Vulcains FFS), Xavier Meniscus(Sub Valence / RABA / Pont en Royans FFS), Patrick Serret alias Belu (Sub Valence / RABA / GSVans - RESSAC - FFS), Manu Tessanne (Albertville FFS, Sub Valence / RABA).

    Patrick nous a accompagné jusqu'à l'étroiture verticale avant S2, et Xav Steph et moi sommes allés voir le fond en sécurisant la progression, équipement de 150m de corde.
    TPST 17h, et découverte de 210m de galeries topographiées assez labyrinthique avec arrêt sur un siphon ou plutot voute très(trop) mouillante avec courant d'air, et arrêt sur passages imp. après escalades et dèsob dans l'argile et puis surtout arrêt sur grosse fatigue des collegues en laissant 2 départs de belle dimension(2 par 1.5), retour tranquille malgré un beau plat dos pour le Xav avec rupture d'amarrage sur un ressaut de 2m...tout va bien...on sortira de la cavité a 2h du mat, bien nazes, mais quelle belle aventure!

    Pour info, il y a la branche de Fred Badier a poursuivre ! dans le S2, une belle galerie avec arrêt sur rien ! avant le dernier terminus des fils d'Ariane et les 2 départs dans la zone terminale, ainsi que le S4.

    Autre info la cavité était gazée entre S1 et S2, ce que je n'avais pas remarqué quand j'étais seul, pour le S1 je conseille le bi 12 plutôt que le bi 10 bien gonflé, c'est plus serein.

    Vous pouvez lire le cr complet de Steph Belu Xav et moi sur le site de Patrick Serret 1001 http://ardeche1001siphons.oldiblog.com  avec les photos de la cavité jusqu'au fond.


    A+MAN<o:p></o:p>

    manu tessanne <o:p></o:p>


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    Par Minibus sur Lun 15 Sep 2008, 22:11 <o:p></o:p>

    Les liens exactes :
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    - http://ardeche1001siphons.oldiblog.com:80/

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    - http://ardeche1001siphons.oldiblog.com/ ... rub=255838

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    http://myshowmee.com/showcase.php?id=67 ... lor=000000
    Ainsi que la sortie de préparation de Manu, 15 jours avant : ( en fin de page )

    http://ardeche1001siphons.oldiblog.com/ ... rub=264337
    " un beau plat dos pour le xav avec rupture d'amarrage sur un ressaut de 2m "

    Ou comment couper au fil à beurre une voute de glaise en 2 avec une corde .......
    Ah ! ça fait une coupe bien droite .....

    A+ Xavier<o:p></o:p>

    Minibus <o:p></o:p>


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    Par Antoine07 sur Mar 16 Sep 2008, 07:08 <o:p></o:p>

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    Bonjour et bravo pour cette explo.<o:p></o:p>

    pour le S1 je conseille le bi 12 plutôt que le bi 10 bien gonflé, c'est plus serein.<o:p></o:p>

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    Le S1 fait <st1:metricconverter productid="380 m" w:st="on">380 m</st1:metricconverter> a -28, son point bas, mais il n est que ponctuel. La profondeur moyenne est de <st1:metricconverter productid="17 m" w:st="on">17 m</st1:metricconverter> pour le S1 ( donne par mon ordi ), je trouve que sa serait bien de connaitre la profondeur moyenne dans ce type de siphon pour calculer au mieux sa conso et donc sa config. Si Franck ou JMB veulent rajouter cette info sur la fiche cavité.<o:p></o:p>

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  • Désobstruction de la vasque

    Font Vive 2001<o:p> </o:p>

    Expédition nationale C.N.P.S et C.R.P.S IDF de <st1:personname productid="la F.F"> la F.F</st1:personname> .E.S.S.M. (ouf !)<o:p> </o:p>

    Franck ICHKANIAN (CCDF)<o:p> </o:p> / Philippe BIGEARD (SCV).


    <o:p> </o:p>

    1998-2000 : Rappel du but des sorties<o:p> </o:p>

    Elimination de l'obstruction de gravier bouchant la source de -6 à -18, topographie et reprise des explos de ce réseau.


    <o:p> </o:p>

    Les camps de 2001 Du 24/05 au 4/06/01<o:p> </o:p>

    Prévu: finalisation nettoyage/équipement SI et topo, rééquipement et topo post-siphon. Une séance de désobstruction était prévu, il manque en effet un certain cubage à extraire pour garantir durablement le passage . Réalisé : Dès le début du séjour, des gars passent le SI, puis s'en retournent chez eux après cette promenade...résultat : pour les trois qui restent plus possible d'avoir la moindre visibilité pour bosser dans le SI, et ce pendant tout le séjours... Et pas possible à deux d'installer le chantier<o:p> </o:p>

    désob (2 plongeurs pour la fin du séjour). Nous avons pus néanmoins faire une bonne séance photo dans la première partie du SI avec l'excellent Gilou Carminé aux manettes. Nous avons fini le séjour avec un couple de plongeurs spéléo allemands : Marcel Huttemann et Martina.<o:p> </o:p>

    Participants: S.Césarano, M.Ferrante, G.Carmine, F.Ichkanian, C.Dufaut, Ph. Bigeard.


    <o:p> </o:p>

    Du 10/11 au 18/11/01<o:p> </o:p>

    Nous faisons quand même le camps à deux plongeurs, désobstruction d'une arrivée d'eau<o:p> </o:p>

    dans la vasque, séances d'une heure tout les jours, avec arrêt à chaque fois pour cause de touille infernale, là encore vu le faible nombre nous n'avons pas pus mettre en oeuvre le chantier.<o:p> </o:p>

    Participants: F. Ichkanian, C. Dufaut, Ph. Bigeard


    <o:p> </o:p>

    Remarques et commentaire<o:p> </o:p>

    On notera l'indigence des compte-rendus ci-dessus, qui reflètent la démotivation et la désagrégation de l'équipe qui avait entamé cette aventure. Le modus opérandi : nettoyer, rééquiper, topographier, et ce dans l'ordre n'est apparemment plus de mise, et ne semble pas avoir fait l'unanimité, ce fut notre erreur de s'accrocher à cette notion qui semble désormais désuète. A en croire un message , pardon, un «communiqué » sur les listes internet, une équipe aurait prolonger les galopades humaines au delà du terminus connu (S3), ce qui on en conviendra, a quelque peu démotivé la troupe, qui à d'autres aspirations que de préparer les «exploits» des autres , pas plus que le goût d'alimenter les polémiques<o:p> </o:p>

    épuisantes et grotesques sur la «rhétorique exploratoire». De plus nous nous opposons à faire des explos avec «la pression du milieu» aux fesses qui doit nous dicter le planning de l'avancement de nos explos, c e s e r a i r e n t r e r d a n s u n e logique «plantogène » de compétition, à l'opposé des<o:p> </o:p>

    but que s'est fixée <st1:personname productid="la CNPS"> la CNPS</st1:personname> , semble t'il, en terme de sécurité pour ses expés subventionnées..


    <o:p> </o:p>

    Résultat globaux<o:p> </o:p>

    L'éboulis d'entrée a été en grande partie éliminé, il reste env. <st1:metricconverter productid="20 m3"> 20 m3</st1:metricconverter> à extraire si on désire pérenniser un passage durable, en effet au bas de l'éboulis le dépôt a augmenté sur une hauteur de <st1:metricconverter productid="0,6 m"> 0,6 m</st1:metricconverter> en 1<o:p> </o:p>

    ans, les plongeurs de passages poussant à chaque fois les blocs vers le bas, Font-Vive est devenue, depuis sa désobstruction, un « spot » très fréquenté. Le SI a été topographie sur une grande partie (4/5), et ce, avec précision, les sections ayant été toutes mesurées (5 mesures par visée, soit env ;200 visée au deçà.). La topo publiée est incomplète, il manque <st1:metricconverter productid="100 m"> 100 m</st1:metricconverter> où des visées devront être vérifiées pour lever quelques doutes. Plus de <st1:metricconverter productid="500 m"> 500 m</st1:metricconverter> de fils de tout calibres ont été extraits du SI, et il est correctement rééquipé sur <st1:metricconverter productid="250 m"> 250 m</st1:metricconverter> . Nous savons maintenant que le SI n'est pas alimenté, et que l'arrivée d'eau se fait dans la vasque, du moins depuis 1996.<o:p> </o:p>

    Les techniques de désobstruction pour ce genre de problème on été bien dégrossies (treuil, suceuse, etc) Nous avons pus essayer et valider des méthodes intéressants d'équipement et de topographie qui semblent bien adaptée aux siphons . Du matériel pour le rééquipement avait été déposé derrière le SI (kits, spits, amarrages, etc..), à notre dernière visite il n'y était plus, il ne reste qu'une corde neuve de<o:p> </o:p>

    60m, en espérant qu'elle servira à changer les cordes hors d'usage qui équipent les ressauts.


    <o:p> </o:p>

    Conclusion<o:p> </o:p>

    Tout à une fin, et les camps Font-Vive c'est fini pour nous, ainsi que l'illusion de pouvoir faire<o:p> </o:p>

    des explos en bonne entente, au rythme de l'équipe, ou chacun apprend et progresse à mesure de l'avancement. Le « goût » n'y est plus pour ceux qui se sont défoncés pour ces camps, et même pour ce compte-rendu il a fallu que l'on se fasse « violence », malgré les relances pressantes de l'ami Claude.<o:p> </o:p>

    A ce jour de nombreux challengers se pressent pour « profiter » du passage, nous leur<o:p> </o:p>

    souhaitons de bonnes explos. Et remerciement encore au gars de Grospierres pour leur fidélité et leur monstre coups de main , ce sont en effet eux qui ont réalisé une grande partie de la suceuse et autre matos, et tout ceux qui ont « donnés » pour ces camps, et cette « belle illusion ».<o:p> </o:p>

    « sévère mais juste, l'inquiétant génie de <st1:personname productid="la Font-Vive"> la Font-Vive</st1:personname> m'avait accordé une chance. Un instant dérangé, il s'est replongé dans un sommeil millénaire, que je me hasarderai à troubler, un jour peut-être avec respect et ménagement » Bob Destreille 1973 (Spéléo belge, le premier à avoir exploré Font-Vive).


    <o:p> </o:p>

    Clichés de FONT-VIVE réalisés lors des camps 2001, et 2002.<o:p> </o:p>

    Nikonos III, deux flashs, dont un avec cellule de déclenchement Bibige passe le point bas de l'éboulis d'entrée (-17), on notera les plantes aquatiques au premier plan, démontrant l'absence totale de courant, voire l'inversion, ainsi que la grande quantité de galets « poussés » par les « visiteurs », qui obstruent petit à petit le passage ouvert, et seront difficiles à extraire, ils étaient absents en 2000 à la fin de la désobstruction. Juin 2001 .(Photo G.Carmine, F .Ichkanian, Ph.Bigeard)<o:p> </o:p>

    Francky se colle aux relevés, on aperçois les éléments spécialement étudiés et réalisés pour cette explo (planchette, deçà, amarrages, étiquettes).

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  • Exemples d'eaux bleues d'origine karstique :

    la source de Font-vive en Ardèche.

    Pierre Thomas

     

    Publié par

    Florence Kalfoun

    2005-04-11


    La source de Font Vive, Grospierres, 07

    La très belle couleur bleue que prennent les eaux siliceuses, provient des suspension de la silice colloïdale, colloïdes qui diffusent préférentiellement les courtes longueurs d’onde.

    Ce phénomène des eaux bleues existe aussi dans le cas d’émergence d’eaux karstiques. Les eaux circulant dans des karsts (calcaires) se chargent d’ions HCO3- et Ca++ en solution. Quand ces eaux arrivent en surface au niveau d’une source, elles relâchent vers l’atmosphère un peu de CO2. Cette perte de CO2 qui peut être favorisée par la photosynthèse d’algues ou de bactéries photosynthétiques planctoniques déplace l’équilibre des carbonates vers la droite, et entraîne un micro précipité de CaCO3 en suspension dans l’eau :

    2 HCO3- + Ca++<=> CO2 + CaCO3 + H2O.

    Dans certaines conditions, les particules de ce micro précipité ont la bonne dimension et la bonne concentration pour entraîner la diffusion de la lumière et donner à ces sources d’exceptionnelles couleurs bleues. Les sources et lieux-dits s’appelant "eaux bleues, source bleue …" sont fréquentes en France dans toutes les régions calcaires, comme par exemple dans le bassin parisien à Tavers entre Orléans et Blois, dans le Jura près de Baume les Dames…

    Voici deux exemples de telles sources bleues : la Font Vive, près de Grospierres dans l’Ardèche, et la source de la Sorgues près de Cornus, au pied du Causse du Larzac dans l’Aveyron, à ne pas confondre avec la source de la Sorgue de la Fontaine de Vaucluse. Dans ces deux cas, il s’agit de l’arrivée en surface d’un réseau en forme de siphon dont la terminaison débouche au fond d’une vasque. Il n’y a aucune galerie horizontale "vide" dans laquelle un spéléologue pourrait s’aventurer sans équipement de plongée.

    Le contexte géologique de cette source de la Sorgues, au pied des calcaires J2b (bathonien supérieur, jurassique moyen) formant le sommet du Causse du Larzac, calcaires très "lapiazé", avec doline, aven … . Toute l’eau de pluie tombant sur ce plateau traverse le sol, se charge en CO2 (respiration des racines et des champignons et bactéries du sol, s’infiltre, traverse les dolomies et calcaires bathoniens J2a et J2b, dissout un peu de ces carbonates et ressort à la limite J2a /l7-6, limite correspondant à une limite calcaires bathonien /marnes toarciennes.


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