Depuis la place du village de Bourg St Andèol, prendre à gauche la rue Marc Pradelle (Stèle du Dieu Mytra ou Parc Pradelle), passer devant l'ancien lavoir, la source s'ouvre sous le pont du chemin de fer.
Concernant la borne d'accée :
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HISTORIQUE
Dans les année 67 à 70 Albert Casamatta, accompagner de deux compagnon, désobstrue la trémie d'entrée, et parvient jusqu'au au du puits...
Le 8/10/1972, l’équipe marseillaise du GEPS (Claude Touloumdjian) atteint la profondeur de -75 à 140m
En 1975, Deux plongeurs perdent le fil, le premier sortira en catastrophe avec ADD , le deuxième (G. Franziakis) décédera probablement de narcose a -70m
En 1980, F.Le Guen, atteint -84 à l'air
Le 21/04/1981, Véronique Borel, Eric et Francis Le Guen atteignent –97 à 170m. (à l'air).
En 1982, le GLPS (C.Brandt, L.Jaton et P.Schneider) de Lausanne (CH) atteint –115m lors d’une plongée à l’Héliox.
En 1984, J. Schneider (Allemand) atteint la profondeur de -125.
Le 10/10/1985, J. Schneider atteint 310m -140 de l’entrée. ADD traité et résolu en Chambre de Décompression.<o:p> </o:p>
Les dernières explorations du Grand Goule, par l’allemand Joseph Schneider qui atteignit la côte –140m, remontent à 1985 mais depuis plus de 15 ans, aucune plongée n’avait pu se faire, car l’entrée était bouchée à -12, par un éboulis. Plusieurs équipes se sont obstinées mais personne n’avait réussir à ouvrir cette résurgence.
27/28 juillet et 4/5 aout : Claude Hurey, Christian Lucotte, Frédéric Martin, Patrik Sertel. Utilisation d'une suceuse fournie par Christian alimentée par un compresseur fourni par <st1:personname productid="la Mairie."> la Mairie.</st1:personname>
En mai 2002, l’équipe des Fils d’Ariane, Xavier Meniscus, D. Bianzani, L. Ylla, S. Roussel, G. Hude), met en œuvre de lourds moyens qui lui permettent d’évacuer galets et blocs qui bouchaient l’entrée. En plusieurs plongée, l’équipe nettoie, rééquipe, filme et topographie la cavité.
Le 19/06/2002, Xavier atteint la profondeur de 380m –140. Decoplanner GF 30/60 Nitrox deco; ADD traité et résolu en se re-immergeant
En 2002 Juillet, X. Meniscus explore sur une 15aine de mètres la très étroite galerie des -80m -75m
Le 04 janvier 2003, X. Meniscus -153m à 450 m. Decoplanner GF 20/50 Trimix deco; compte rendu: PDF File (superbes photos de Richard Hutler)
Le 4 mai 2003, Jérôme Meynié, en recycleur CCR mark 15.5, atteint la profondeur de -178m à 560m de l'entrée. Decoplanner GF 20/100 et VR3 conservatisme 0% ADD traité et résolu en Chambre de Décompression
Le 25 février 2006, Jérôme Meynié (UK /France) atteint la profondeur de -180m à 570m Ouroboros
Le 23 Avril 2006, X. Méniscus et le Groupe RABA, poursuive l'exploration arrêt à -185m à 575m.
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EXPLORATION
La vasque d’entrée glisse le long d’une pente de galets jusqu’au rétrécissement de –12. Une galerie sub-horizontale de section lenticulaire rejoint le haut du premier puits, à 75m de l’entrée (-18). Le conduit plonge à la verticale jusqu’à –33, puis enchaîne avec une succession de redans verticaux jusqu’à –60. La section se réduit alors que de courts tronçons sub-horizontaux ralentissent la descente.
A –79, une modeste galerie horizontale (1,2 x 2m) sur creusée se développe sur 25m jusqu’à un élargissement, à 180m du départ. Vers le sud-ouest, une amorce de galerie basse se prolonge durant une vingtaine de mètres
Un puits s’engouffre jusqu’à –110 (210m de l’entrée), avec un départ étroit à –86.
Après 25m dans une galerie de section triangulaire, un nouveau puits plonge à –120m. A sa base, débute la galerie profonde. Sa section est modeste (1 à 1,5m de haut pour 2 à 2,5m de large), elle est sinueuse et descend en pente douce affectée de redans verticaux. Vers –130, la pente s’accentue sensiblement (20°). La galerie à -110m part au 330°, et la galerie à -120m part au 180°.
Arrêt à 575m / –185m
KARSTOLOGIE
Il est à noter la prépondérance des accidents majeurs dans le tracé de ce réseau noyé. Une coloration à partir de la grotte de <st1:personname productid="la Pascaloune" w:st="on">la Pascaloune</st1:personname>, située à <st1:metricconverter productid="7,5 km" w:st="on">7,5 km</st1:metricconverter> a démontré une liaison directe avec les deux gouls de Tourne. La droite qui joint ces deux points est orientée 136°, caractéristique de la fracturation dominante de cette zone.
Ces deux sources possèdent le même bassin d’alimentation, le plateau de St Remèze.
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REMARQUES